Une nouvelle corde à notre arc

L’Original Prusa i3 MK3 Multi Material (il faut vraiment lui trouver un plus joli nom) peut imprimer dans un volume de 11,025 cm3 (25 x 21 x 21 cm). On y a ajouté un module supplémentaire qui permet d’imprimer avec cinq bobines de fil de couleurs différentes.

Nous avons acheté la version kit que Joël a dû assembler. Ce fut une excellente introduction à la technologie qui a mis en lumière les petits caprices de l’impression 3D.

Dans la culture maker, la Prusa i3 MK3 est une vedette. C’est pas rien à l’heure où les imprimantes 3D se vendent à trois pour une piastre dans toutes les grandes surfaces. Oui, j’exagère.

Voir le site Web de la compagnie

Puisque qu’on est dans le sujet des imprimantes 3D, Stephanie s’objecte à ce qu’on utilise ce terme. Selon elle, on imprime sur des surfaces, même si elles ne sont pas toujours planes (comme des tasses). Elle a raison, je crois. Le terme industriel pour l’impression tri-dimensionelle est «fabrication additive».

Donc, une imprimante 3D pourrait s’appeler un « appareil de fabrication additive », ou AFA. Qui suggère le mot « affaire ». Ou machin-truc, bébelle, bidule, patente à gosse, etc… Comme dans « c’est quoi cet AFA-là? » Ou « on vient de s’acheter un AFA, t’sais-là? » Cette proposition a de l’avenir, je le sens.



comments powered by Disqus